La sophrologie est elle une médecine douce

Sophrologie et médecine douce

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La sophrologie est-elle une médecine douce ?

Comme nous l’avons déjà vu, la sophrologie est une science qui étudie « l’esprit en paix » ou « l’âme en harmonie ». Quoi de plus doux comme médecine ?
A ce titre, elle peut apporter des connaissances utiles (une démarche, des outils …) pour aider l’être humain à cheminer vers son plein accomplissement, donc sa pleine santé mentale et physique ( Selon la définition de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), la santé c’est « un état de complet bien-être physique, mental … ».)

Médecine douce

L’appellation « médecine douce » regroupe toutes les médecines, thérapies, voire démarches, alternatives, parallèles, complémentaires ou non conventionnelles, qui ne relèvent pas de la médecine dite traditionnelle.
Ainsi pour revenir à l’OMS, elle recense plus de 400 pratiques et médecines alternatives qui contribuent à la santé et au bien-être de ses patients.
Comme l’acupuncture, l’homéopathie, la mésothérapie, l’ostéopathie, la naturopathie, la phytothérapie, l’hypnothérapie…

Sophrologie

En fait, la sophrologie est à cheval sur la santé et le bien-être. Elle bénéficie d’ailleurs en France de deux codes APE/NAF distincts.

Donc pour moi la sophrologie participe à préserver et encourager notre niveau de vitalité et de santé. Sa pratique peut donc être un soutien précieux à toute démarche thérapeutique et de santé.

Dans le domaine psychologique, la sophrologie est reconnue comme « une pratique développant des compétences psychosociales » selon la classification de l’OMS (1993).

Intégrer la sophrologie à la démarche thérapeutique ?

Comme je le dis plus haut, je milite pour que la sophrologie soit reconnue comme une démarche en elle-même, vers le plein déploiement de son être et de ses potentiels.
Mais elle peut aussi constituer une démarche de soutien à toute autre thérapie ou protocole de soins et de santé.

Vision intégrative

C’est une vision intégrative de la santé, où tous les points de vu sont intéressants pour éclairer une difficulté, un problème, un dysfonctionnement, une maladie symptomatique de son approche particulière et unique. Toutes les médecines douces peuvent nous aider à faire un pas de plus vers la guérison et la pleine santé.
Ainsi au-delà des différentes approches, toutes ces disciplines conventionnelles et alternatives, peuvent collaborer et se compléter. Pour atteindre le but que s’est fixé le patient. Et selon le chemin qu’il considère comme bon pour lui.
Car oui je milite pour une médecine holistique, qui prend en compte le patient comme un être complet dans son environnement. Et avec sa capacité de choix et d’autonomie.

Appel à l’intégration

Je salue donc, et je relaie: L’appel de plusieurs personnalités, dont Solange Arnaud et Michel Cymes, « pour une médecine intégrative ». Cette tribune, parue dans le Journal du Dimanche, fait suite à la décision de doctolib d’exclure tout un secteur des médecines alternatives, dont la sophrologie de leur site.
C’est une prise de position courageuse et historique, que celle d’aller vers l’unification des « techniques » de soin.
Cette position est d’autant plus remarquable qu’elle émane de Michel Cymes, médecin et personnalité médiatique. De Solange Arnaud fondatrice de « Médoucine.com ». D’Alain Tolédano, cancérologue, cofondateur de l’institut Raphaël …
Ces acteurs majeurs de la santé sont favorables à l’intégration des médecines parallèles comme
l’acupuncture, l’homéopathie, la mésothérapie, l’ostéopathie, la naturopathie, la phytothérapie, l’hypnothérapie, la sophrologie … au parcours de soin traditionnel.
Ils réclament donc que toutes ces disciplines soient mieux reconnues et mieux règlementées.

Alors comment la sophrologie peut s’intégrer à un parcours de soin ?

Je dirais assez simplement, par un accompagnement individuel ou collectif.

La sophrologie, développe nos compétences de perception, de ressenti. Elle soutient notre vitalité, elle nous donne des outils pour mieux gérer notre douleur, nos émotions et notre stress. Elle nous accompagne vers notre autonomie.
Et tous ces bénéfices plus bien d’autres, peuvent se retrouver dans des ateliers collectifs de sophrologie.

Le butinage thérapeutique.

Il est vrai que la limite de cette médecine intégrative peut être le butinage thérapeutique.
j’entends par là, le fait qu’un patient aille de thérapeute en thérapeute, sans réelle amélioration de sa santé.
Il y a un réel intérêt pour l’atteinte de ses objectifs de santé, de rester concentré et d’approfondir la voie thérapeutique que l’on a choisie. Il est bon de ressentir si celle là nous convient, même si elle nous confronte à nos limites et à des émotions désagréables.
Je trouve un réel intérêt à la persévérance et à l’engagement dans une voie de soin. Mais toujours à l’écoute de ses ressentis et de ses besoins.

Alors bienvenue à cette amorce de médecine intégrative, holistique et bienveillante !

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